Concert SALUT BRASSENS en duo avec Rodrigue Fernandes
Ce que la presse en dit :
Le dernier guitariste du poète lui a rendu un joli hommage devant plus de trois mille spectateurs (Le Midi Libre).
Mieux qu’un hommage, c’est une fête, une complicité chaleureuse dans le rire et l’émotion, un pur moment de bonheur (La Nouvelle République)
“Brassens, Joel le connaît musicalement de l’intérieur”. (Maxime Le Forestier)
“Les chansons de Brassens sont un vaccin contre la connerie, mais il faut pas mal de rappels”. (Pierre Desproges)
Peut-on encore surprendre en reprenant du Brassens ? Oui ! prouve Joel Favreau qui tint douze ans durant la deuxième guitare à l’ombre du manche du maître. Aiguilloné avec rudesse par Le Forestier (“Ecoute, tu nous emmerdes avec ta deuxième guitare. Est-ce que tu vas enfin te décider à chanter ?…), Favreau qui a déjà publié ses propres chansons ose enfin chanter Brassens. Et c’est superbe : la voix est chaude et bien timbrée, l’articulation exemplaire. La guitare alerte et l’accordéon qui lui répond rendent ensemble justice à une musicalité que les po-pom po-pom de la version d’origine réduisaient au minimalisme : et c’est enthousiasmant ! (Télérama)